Inscription à la newsletter
s'inscrire / se connecter

Sites pays et partenaires

Membres :
0 200 500 1000 2000 5000 10000+
Campus France
République tchèque
CAMPUS FRANCE
Actualités
Partager sur :

Jaroslav STANOVSKÝ, séjour de recherche, Université Côte d'Azur

10 juin 2024 Communauté
Vue 28 fois

« Faire un séjour en France, me semble-t-il, permet de combiner travail sérieux et joie de vivre, il faut savoir en profiter. » Jaroslav STANOVSKÝ, séjour de recherche, Université Côte d’Azur

Jaroslav a passé un mois à Nice, à l’Université Côte d’Azur, en octobre 2023. Ayant reçu en 2022 le Prix Gallica, il a pu obtenir une bourse de l’Ambassade de France en République tchèque, complétée en partie par la Bibliothèque de Moravie de Brno. Ce séjour s’inscrivait dans le cadre de son travail de bibliothécaire-chercheur dans cette bibliothèque. A Nice, il a été affilié au Centre de la Méditerranée Moderne et Contemporaine, sous la direction de l’historien Pierre-Yves Beaurepaire.

 

  • Pourquoi avez-vous choisi d’aller en France ?

J’ai commencé à étudier le français au lycée puis j’ai continué en licence d’histoire à partir de 2010. Pendant mes études de master et de doctorat, j’ai pu effectuer plusieurs séjours à Paris dans le cadre du programme de cotutelle entre l’Université Masaryk et l’Université Paris-Est. Ma recherche actuelle à la Bibliothèque de Moravie se concentre sur la culture française et francophone dans l’Europe des Lumières. Ainsi, le choix de la France pour un séjour de recherche m’est apparu évident.

 

  • Quelle a été votre première réaction lorsque vous êtes arrivé en France ?

A mon arrivée à Nice, le 1er octobre 2023, j’ai été surtout impressionné par l’ambiance estivale de la ville.

 

  • Avez-vous rencontré des difficultés quand vous êtes arrivé en France ? Si oui, comment les avez-vous surmontées ?

Je n’ai rencontré aucune difficulté particulière. Bien au contraire, l’organisation du séjour, à commencer par la réservation de l’hébergement, m’a semblé exemplaire.

 

  • Qu’avez-vous retiré de cette mobilité ? 

Ce séjour m’a enrichi à plusieurs niveaux. Pour commencer, c’était la première fois de ma vie que je vivais plusieurs semaines dans le sud de la France, près de la mer. J’en ai profité pour découvrir une région que j’avais ignorée jusqu’alors, à l’exception de quelques courts séjours à Marseille et à Antibes. Ensuite, au niveau professionnel, j’ai eu l’occasion d’approfondir ma recherche en collaborant avec un spécialiste du domaine m’intéressant, Pierre-Yves Beaurepaire. Nous nous sommes également mis d’accord sur la publication de l’édition critique d’un livre du XVIIIe siècle, Le Mémorial d’un mondain de Maximilian Lamberg, chez Garnier classique (prévue en 2026).

  • Selon vous, quels sont les avantages d’étudier en France ?

Personnellement, je n’aurais pas pu choisir mieux que la France étant donné que mes études sont orientées vers le milieu francophone. De manière générale, je pense que le niveau professionnel très élevé du milieu universitaire français est appréciable, surtout dans les domaines me concernant, à savoir les lettres et l’histoire. Cela combiné à un certain savoir-vivre qui rend la vie en France particulièrement agréable.

  • Selon vous, quels sont les qualités et les défauts de Nice ?

Nice est une jolie ville, vivante et dynamique, avec un climat très agréable. Ce mois d’octobre que j’ai passé là-bas m’a permis de faire un séjour de recherche aux allures de vacances à la mer. Cependant, il me semble que la ville se trouve quand même loin d’autres centres de recherche en France.

  • Quel est votre meilleur souvenir de cette expérience ?

Il est difficile de choisir un seul souvenir tant le séjour était riche en bonnes expériences. Peut-être pourrais-je mentionner mes randonnées hebdomadaires du week-end dans les Alpes ? On pourrait presque aussi parler de mon expérience quotidienne si agréable, de mon trajet à vélo de mon hôtel jusqu’au centre de Nice, au bord de la Méditerranée, par exemple.




Commentaires

Vous devez être connecté pour laisser un commentaire. Connectez-vous.